1. OL. Ecrire au masculin et au féminin *

Généralement, on ajoute un e.
Ex. : noir/noire…

Terminés par er, ils se transforment en ère.
Ex. : routinier/routinière…

Beaucoup doublent la consonne finale (exceptions : complète, concrète, discrète, inquiète, replète, secrète, dévote, idiote).
Ex. : éternel, éternelle ; quotidien, quotidienne ; coquet, coquette ; pâlot, pâlotte ; bon, bonne ; vermeil, vermeille ; gras, grasse ; gentil, gentille…

Les adjectifs en f le transforment en v.
Ex. : vif, vive.

Le x se transforme en se (mais vieux, vieille, doux/douce, faux/fausse, roux/rousse !).
Ex. : heureux, heureuse…

Pour les adjectifs terminés par eur, trois possibilités : eure, euse, rice.
Ex. : supérieur/supérieure ; rieur/rieuse ; conducteur/conductrice.

Cas particuliers :

Certains adjectifs ne changent pas.
Ex. : pâle, mâle, sale, ovale, fidèle, parallèle, frêle, grêle…

Ne pas confondre bel, nouvel, fol et mol (autres masculins de beau, nouveau, fou et mou, utilisés devant une voyelle ou un h muet) avec belle, nouvelle, molle et folle (féminins).

Ne pas oublier le tréma sur le e du féminin de : aigu/aiguë, ambigu/ambiguë, contigu/contiguë exigu/exiguë.

Attention aux féminins des adjectifs plus ou moins irréguliers.
Ex. : blanc/blanche ; coi/coite ; malin/maligne ; grec/grecque ; frais/fraîche ; public/publique ; bénin/bénigne…

Mettre le participe passé au féminin pour trouver sa consonne finale (le plus souvent).
Ex. : pris/prise, plaint/plainte, conduit/conduite…

La réécriture (ou la reformulation) est un exercice complexe dans la mesure où elle met en oeuvre de nombreux mécanismes à la fois. Elle sollicite plusieurs connaissances grammaticales. Lire le cours complet ou consulter les règles particulières.